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Renvoyé dans Stalingrad assiégé avec ordre de maintenir une position défensive, Paulus estime qu'il ne lui reste que six jours de vivres et de munitions. Cependant, quitter Stalingrad signifierait abandonner sur place tout le matériel lourd et près de 15 000 blessés pour entamer une retraite que le général Schmidt, chef d'état-major de Paulus, qualifie de « napoléonienne » en référence à la retraite de Russie. Mais après l'hésitation initiale, il demande dès le lendemain, avec l'appui de ses cinq généraux des corps d'armée, une percée immédiate.