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Cameroun (88 événements)
Cameroun

(88 événements)

Juillet
12/07
Les Chefs Douala signent un traité d'assistance avec le Gouvernement allemand.
14/07
La souveraineté allemande sur le Cameroun est proclamée.
Février
15/02
La France et l'Allemagne signent un accord sur le tracé des frontières entre le Congo et le Cameroun.
Mars
15/03
La France cède à l'Allemagne le « bec de canard » au profit du Cameroun allemand.
Février
14/02
Le Père Vieter décide d'implanter la 1ère mission catholique de Yaoundé sur le flanc de la colline de Mvolye.
Janvier
22/01
Mgr Vieter devient le 1er Evêque du Cameroun. La mission de Mvolye (Yaoundé) devient le siège du Vicariat apostolique pour le Cameroun.
Janvier
01/01
L'entrée des troupes alliées à Yaoundé marque la fin de la colonie allemande du Cameroun.
28/01
Les troupes belges et françaises entrent à Yaoundé.
Février
18/02
Français et Anglais achèvent la conquête de la colonie allemande du Cameroun.
 
La construction de la Cathédrale de Mvolyé débute.
Février
22/02
La mission ethnographique française arrive à Yaoundé.
Août
27/08
Le Cameroun rallie la France libre du général de Gaulle.
Septembre
21/09
De violentes émeutes éclatent à Douala. Des ouvriers syndiqués au sein de la CGT-USCC déclenchent une grève pour protester contre leurs conditions de travail.
Décembre
13/12
L'accord de tutelle du Cameroun entre le Grande Bretagne, le France et l'ONU est signé.
Avril
10/04
Le 1er parti populaire, l'Union des populations du Cameroun (UPC), est créé à Douala.
Avril
10/04
Lors de son 1er congrès, l'UPC porte à sa tête le chef de Foréké Dschang et fondateur du Kumzse, Djoumessi.
Décembre
17/12
Um Nyobé, SG de l'UPC, s'adresse aux membres de la commission de l'ONU : il demande un calendrier pour l'indépendance du Cameroun.
Juillet
13/07
Les autorités françaises interdisent l'UPC, ses leaders passent dans la clandestinité.
Avril
17/04
Messmer est nommé haut-Commissaire au Cameroun.
Juillet
12/07
Ahidjo, représentant l'aile moderniste des députés du nord, permet la fusion des associations des élus foulbés et musulmans pour créer l'Union Camerounaise.
Mars
13/03
La 4e commission de l'AG de l'ONU adopte la résolution française proposant la levée de la tutelle sur le Cameroun sans conditions.
Octobre
29/10
Malgré l'opposition des députés comme Kemajou, Ahidjo obtient les pleins pouvoirs.
Janvier
01/01
Le Cameroun accéde à l'indépendance.
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Le 1er ambassadeur allemand, Thomsen, accompagne le ministre fédéral Merkatz aux fêtes de l'indépendance.
Février
20/02
Un Référendum vise à approuver la constitution réalisée par un comité consultatif de 42 membres ; l'UPC, dans le maquis, demande à voter "non".
Mai
05/05
Ahidjo est éu Président (89 voix et 10 bulletins blancs) ; Assalé est nommé Premier Ministre, Happi est élu Président de l'Assemblée.
Septembre
20/09
Adhésion à l'O.N.U. du Cameroun.
Août
14/08
La Constitution fédérale est adoptée : Ahidjo est Président, Foncha (Cameroun méridional) est vice-Président.
Février
01/02
50 militants de l'UPC, arrêtés dans l'Ouest du Cameroun et à Douala, accusés d'activités subversives, sont entassés dans des wagons à bestiaux en direction de Yaoundé. A l'arrivée, on dénombre env 25 morts.
Mars
12/03
Des ordonnances autorisent la détention administrative illimitée, punissant la propagation de fausses nouvelles et le commentaire tendancieux.
Mars
23/03
Lors de la 1ère présidentielle au suffrage universel au Cameroun, Ahidjo est réélu Président et Foncha vice-Président.
Juin
18/06
Ahanda devient Premier Ministre du Cameroun oriental en remplacement de Assalé.
Novembre
21/11
Le ministre Kamga et plusieurs hauts fonctionnaires bamiléké sont arrêtés pour complot contre la sûreté de l'Etat.
Décembre
31/12
Muna est nommé Premier Ministre du Cameroun occidental.
Mars
28/03
Ahidjo est réélu Président et Muna devient vice-Président et reste Premier Ministre.
Avril
05/04
Ahidjo est réélu Président.
Décembre
07/12
Un Gouvernement ouvert à l'UNDP et à une branche de l'UPC-N est formé.
Avril
05/04
Ahidjo est réélu Président.
Novembre
04/11
Le Président Ahidjo démissionne suite aux harcèlements de son medecin qui est envoyé par les Français.
06/11
Paul Biya devient président de la République du Cameroun.
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Biya devient Président ; Bello Bouba Maïgari est nommé Premier Ministre.
Août
22/08
Le Président Biya annonce la découverte d'un complot. Il met en cause l'ancien Président Ahidjo et des élites du nord.
23/08
Ayang devient Premier Ministre.
27/08
Ahidjo démissionne de la présidence de l'UNC.
Septembre
14/09
Le Président de la République Biya est élu Président de l'UNC.
Janvier
14/01
Biya est élu Président.
25/01
Le Président Biya supprime le poste de Premier Ministre.
Février
28/02
L'ancien président camerounais Ahmadou Ahidjo est condamné à mort par contumace pour complot contre le régime de son successeur, Paul Biya.
Avril
06/04
Début du putsch militaire contre le régime du président camerounais Paul Biya.
Mars
24/03
L'UNC devient le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC).
Décembre
05/12
La loi instaurant le multipartisme est votée.
Mars
01/03
Les législatives pluralistes sont boycottées par le principal parti d'opposition le SD. Les résultats contestés sont : 88 sièges pour l'UNDP, 68 sièges pour le parti d'opposition, l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP).
Avril
09/04
Achu est nommé Premier Ministre.
Octobre
11/10
Biya est réélu Président (39,9%) devant Fru Ndi (35,9%), candidat du SDF. Les résultats sont contestés. Des manifestations et incidents ont lieu dans l'ensemble du pays et principalement dans la région de Bamenda.
Janvier
18/01
La loi n°96/01 portant révision de la Constitution est promulguée.
Février
10/02
Les Sawa organisent une Marche à Douala pour protester contre la marginalisation des autochtones dans la désignation des maires d`arrondissement.
27/02
Un décret présidentiel érige une dizaine des plus grandes villes en "communes à régime spécial".
Avril
20/04
Edzoa, ancien SG de la Présidence de la République et Ministre de la Santé, démissionne du Gouvernement et annonce sa candidature pour la présidentielle d'octobre.
Octobre
11/10
Victoire de Paul Biya, à l’élection présidentielle du Cameroun.
12/10
Lors de la présidentielle boycottée par le SDF, l'UNDP et l'UDC, Biya est réélu Président.
Mars
02/03
Le Président du SDF dénonce la "marginalisation" des anglophones.
Avril
19/04
Fru Ndi est réélu Président du SDF lors du 5è congrès du parti.
Mai
26/05
Le Comité National de Gouvernance remet son 1er rapport au Gouvernement.
Septembre
07/09
L'ancien ministre des PTT, Sedon, est inculpé de détournements de fonds.
Octobre
27/10
Transparency International classe pour la 2è année consécutive le Cameroun comme n°1 des pays les plus corrompus du monde.
Novembre
04/11
La chefferie des Babété se choisit un nouveau roi : Sob Ngoumbo Soumo Jr (fils de Soumo Ier).
16/11
Les étudiants de Dschang se mettent en grève : ils exigent l'amélioration de leurs conditions d'études.
Décembre
07/12
Les projets de loi proposés par le Président Biya sur le financement des partis et la création d'un Observatoire national des élections (ONEL) sont adoptés (et contestée par l'opposition).
08/12
Les municipales de janvier 2001 sont reportées d'un an.
12/12
Fru Ndi, dirigeant du parti d'opposition SDF, installe son parti à Yaoundé.
Janvier
14/01
Les partis d'opposition manifestent pour revendiquer l'instauration d'une Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
29/01
Les confréries musulmanes Tidjanites et wahabites de Foumban s'affrontent.
Mars
20/03
6 sécessionnistes anglophones emprisonnés à Yaoundé depuis le 1er janvier 2000, sont libérés sur l'ordre du tribunal militaire.
Avril
04/04
Le colonel à la retraite Ekotto est nommé délégué du Gouvernement auprès de la communauté urbaine de Douala par décret du Président Biya.
Juillet
26/07
Le Président Biya signe 21 décrets pour réorganiser l'armée "dans la perspective de sa modernisation et de son rajeunissement".
Octobre
26/10
Le Président Biya nomme par décret Noma, 1er vice-Président de l'assemblée, au poste de délégué du Gouvernement à Yaoundé.
29/10
Mani, ancien ministre du Président Biya, est nommé SG chargé de la gestion administrative et de la conservation des archives de l'ONEL.
Novembre
05/11
Les partis d'opposition s'élèvent contre l'appartenance des membres de l'ONEL au RDPC.
06/11
Le Programme National de Gouvernance rend publique ses stratégies de lutte contre la corruption.
12/11
L'ONEL réaffirme son indépendance et sa neutralité.
Décembre
03/12
L'ONEL se déclare favorable au report des élections municipales et législatives du fait de l'impréparation observée dans les structures administratives chargées des inscriptions et les états-majors des partis.
Mars
15/03
L'ONEL réclame la mise en place rapide de "Commissions de supervision" là où elles n'existent pas encore.
Mars
16/03
François Bozizé, ancien chef d'état-major centrafricain limogé en octobre 2001 pour une tentative de putsch, s'autoproclame « chef de l'État », au lendemain d'un coup de force éclair à Bangui, et contraint le président Ange-Félix Patassé à fuir au Cameroun.
Octobre
11/10
Biya est réélu Président (75%). Les partis d'opposition dénoncent des fraudes électorales.
Mars
04/03
L'accord de Ouagadougou est signé par le président ivoirien Laurent Gbagbo, le chef des Forces nouvelles Guillaume Soro et le président burkinabè Blaise Compaoré.
Avril
10/04
L'Assemblée nationale adopte (157/5 - 15 abstentions) un projet de loi constitutionnelle qui supprime la limitation du nombre de mandats présidentiels consécutifs. Les députés d'opposition quittent l'enceinte du Parlement en signe de protestation.
Janvier
12/01
Bataille de Kolofata.
Mai
04/05
Le FMI débloque 226 Millions de $ en faveur du Cameroun.