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Mathématiques (79 événements)
Mathématiques

(79 événements)

 
Une numération positionnelle à base 60 et sous-base 10 est inventée à Sumer.
 
Les Babyloniens inventent le système sexagésimal, qu'ils combinent avec la numération décimale.
 
Des scribes babyloniens font des exercices de calculs de surfaces.
 
Des tablettes babyloniennes présentent des calculs d'aire conduisant à une valeur de pi de 3 + 1/8.
 
Les Babyloniens calculent la valeur de pi à 3,25.
 
La table trigonométrique [Plimpton 322] précise (4 colonnes et 15 lignes), utilisant un système sexagésimal, est inscrite sur une tablette d'argile.
 
Une tablette d'argile représente la racine carrée de 2 [YBC 7289], en Mésopotamie.
 
Ahmès rédige un papyrus portant les 1ères traces écrites de mathématiques (notamment la valeur de pi) comprenant des résultats antérieurs obtenus par les Babyloniens.
 
Le nombre Pi est découvert en Inde.
 
La notation décimale cunéiforme Assyro-Babylonienne supplante le système sexagésimal sumérien pour représenter des nombres en dessous de 60.
 
Un système décimal est utilisé par la dynastie Shang.
 
Les chinois élaborent une méthode de résolution des triangles et des racines.
 
Les Phéniciens utilisent un système de numération à base 3.
 
Des tables de calcul sont développées en Mésopotamie : des cailloux sur des lignes tracées dans le sable.
 
Pythagore énonce un théorème qui met en relation les longueurs des côtés dans un triangle rectangle.
 
Zénon popularise la notion d'infini.
 
En prison, Anaxagore tente de résoudre la quadrature du cercle avec une règle et un compas.
 
Les pythagoriciens (probablement Hippase de Métaponte) utilisent des nombres incommensurables.
 
Apastamba rédige le "Sulbasutra".
 
Eudoxe de Cnide développe la Méthode d'exhaustion pour déterminer mathématiquement l'aire sous une courbe.
 
Eudème de Rhodes rédige "Histoire de la géométrie".
 
Le livres de règles hindoues "Sulvasutras" indique pour valeur de pi : 3,125.
 
Une table à calculer en marbre est utilisée dans l'île de Salamine.
 
Euclide rédige ses "Eléments" de géométrie.
 
Euclide rédige un "Traité des coniques" [perdu].
 
Euclide rédige ses "Données" de géométrie.
 
Euclide d'Alexandrie meurt.
 
Le savant grec Archimède calcule le nombre pi (π) à la deuxième décimale par la méthode des polygones inscrits et exinscrits.
 
Archimède développe, dans son traité "Mesure du cercle", une méthode des périmètres pour calculer une approximation de pi (3 décimales).
 
Archimède invente un système d'"ordres" [exposants] pour nommer les grands nombres.
 
Archimède rédige un traité de géométrie « Sur les sphéroïdes et sur les conoïdes ».
 
Archimède envisage le calcul différentiel et intégral dans ses travaux sur les tangentes et les quadratures.
 
Ératosthène calcule la circonférence de la Terre (env 39400 km).
 
De la sphère et du cylindre, traité de géométrie d'Archimède. Il calcule la somme des infiniment petits en nombre illimité, soit le calcul intégral.
 
Apollonius de Pergé écrit un ouvrage révolutionnaire sur les sections coniques.
 
Apollonius de Perge écrit le traité "Des coniques" où il introduit les termes "parabole", "ellipse" et "hyperbole".
 
Apollonios de Perga écrit sur les sections coniques.
 
Les babyloniens utilisent le zero à l'intérieur d'un nombre entre 2 chiffres.
 
Hipparque pose les bases de la trigonométrie.
 
Hipparque invente la trigonométrie, détermine avec précision (moins de 1° d'erreur) la position de 1000 étoiles et dresse le 1ier catalogue d'étoiles qui les classe en 6 grandeurs de luminosité, par ordre décroissant. Il est l'un des astronomes les plus brillants de l'Antiquité avec de nombreux travaux : la détermination de la distance Terre-Lune, la mesure précise de la révolution de la Lune, l'explication des éclipses, la détermination de l'inclinaison de la Terre sur l'écliptique, la découverte du phénomène de précession des équinoxes, l'invention de l'astrolabe.
 
Geminos décrit le postulat des parallèles.
 
Les Chinois connaissent les "Carrés Magiques".
 
Geminos rédige "Introduction aux Phénomènes", un traité d'astronomie.
 
Les Mayas utilisent un symbole pour zéro.
 
Nicomaque rédige son "Introductio arithmetica".
 
Nicomaque de Gérase rédige un "Manuel d'harmonique et théorie des nombres".
 
Ptolémée rédige sa "Syntaxe Mathématique" [L'Almageste], somme des connaissances en mathématiques et en astronomie, dans lequel il défend une théorie géométrique des mouvements planétaires dans un univers géocentrique.
 
Diophante d'Alexandrie rédige son "Arithmétique".
 
Liu Hui calcule Pi avec la méthode d'Archimède avec des polygones à 192 côtés puis 3072 côtés pour trouver une approximation au cent-millième.
 
Wang Shuhe rédige le traité mathématique "Maijing" (Canon de sphygmologie).
 
Des équations algébriques sont traitées dans le manuel chinois de mathématiques de Liu Hui Jiuzhang suanshu (Les Neuf Chapitres sur l'art mathématique), qui contient la solution de systèmes linéaires utilisant la méthode de la fausse position, des solutions géométriques d'équations quadratiques et la recherche de matrices équivalentes selon la méthode de Sylvester-Gauss.
 
Le mathématicien Pappus publie sa Collection mathématique, rassemblant toutes les connaissances en la matière de son temps. Il démontre géométriquement la théorie du centre de gravité.
 
Pappos d'Alexandrie publie "Synagogè" (Collection mathématique) en, au moins, 8 volume.
Août
 
Première apparition du zéro dans un traité de cosmologie indien.
 
Zu Chongzhi calcule Pi par la méthode des périmètres : 355/113 (correct à la 6è décimale).
 
Aryabhata calcule Pi : 3 + 177/1250 = 3,1416.
 
Le Siddhanta donne pour Pi comme approximation 3 + 177/1250 = 3,1416.
 
Invention du zéro en Inde.
 
Fibonacci publie "Liber abaci", un traité sur les calculs et la comptabilité fondée sur le calcul décimal, utilisant les chiffres arabes dont le nombre zéro.
 
Le mathématicien Johannes Müller de Koenigsberg invente les signes + et -.
 
Bartholomaeus Pitiscus introduit la séparation décimale dans ses tables trigonométriques.
 
Snell publie sa technique de triangulation trigonométrique qui améliore la précision des mesures cartographique.
Février
01/02
Leibniz présente à la Royal Society sa machine arithmétique et ses résultats concernant la somme des séries infinies.
Juillet
05/07
Publication de Philosophiae Naturalis Principia Mathematica d'Isaac Newton.
Février
26/02
Leibniz termine son mémoire "Essai d'Une Nouvelle Science des Nombres" sur l'arithmétique binaire, et l'envoie à Fontenelle (Académie de Paris).
 
Newton publie la 1ère édition en anglais de son "Arithmétique universelle".
Juillet
26/07
Les mathématiques cessent d'être enseignées au Colégio dos Nobres.
 
Babbage, par le calcul de logarithmes, prend conscience de l'inexactitude des calculs humains et de la nécessité du calcul mécanique.
Mars
23/03
Laplace publie la "Théorie Analytique des probabilités" (vol. 1). Elle étudie les fonctions génératrices, des approximations à diverses expressions de la théorie des probabilités, et contient sa définition de la probabilité, la règle de Bayes, l'espérance mathématique.
Juin
29/06
Laplace publie la "Théorie Analytique des probabilités" (vol. 2).
Février
14/02
Laplace publie son "Essai philosophique sur les probabilités", pour présenter au grand public les principes et les résultats les plus généraux de la théorie de la probabilité.
 
Babbage commence la construction d'une petite "machine à différenced", qui est capable de calculer les fonctions trigonométriques et logarithmiques.
Février
25/02
Le "Système analytique" (362 p.) de Lamarck est imprimé.
Mars
06/03
Lamarck présente son "Système analytique" à l'Académie des Sciences de Paris.
Mars
15/03
Lors d'une réunion publique à Londres, Babbage fonde la Sté de statistique.
Février
15/02
Heisenberg découvre le principe d'incertitude.
Avril
15/04
Gödel donne une conférence sur son interprétation de l'arithmétique à Yale.
Mars
14/03
Un physicien américain organise le premier "Pi day".
Mars
21/03
Le mathématicien français Yves Meyer reçoit le prix Abel « pour son rôle central dans le développement de la théorie mathématique des ondelettes ».