La duchesse Anne de Bretagne publie que seront reconnus coupables du crime de lèse-majesté ceux de ses sujets qui rallieraient le camp du roi de France.
La duchesse Anne de Bretagne rejoint la ligue formée contre le roi Charles VIII par Maximilien d'Autriche, Ferdinand d'Aragon et Henri VII d'Angleterre.
Anne de Bretagne envoie en son nom propre (en tant que duchesse de Bretagne, sans mentionner son titre de reine) 2 ambassadeurs à Rome (l'évêque de Tréguier et Bosquet).
Anne de Bretagne rédige un Acte dans lequel elle se désigne "royne de france, duchesse de Bretagne", et confirme que Louis XII lui a accordé "la totalle disposition de toutes les affaires de nostre pays et duché de Bretaigne..".
Les marchands bretons confient une liste de 18 plaintes à un messager envoyé à Anne de Bretagne qui se rend en Angleterre, concernant les exportations de vin, pastel, alun, laine, peaux, étain, fromages, chevaux.
La reine Anne tente d'arranger un mariage entre sa fille Renée et Ferdinand d'Autriche (petit-fils de Maximilien d'Autriche et frère de Charles de Luxembourg), afin que la Bretagne lui revienne.
La reine Anne a une entrevue à Blois avec La Marck, seigneur de Fleuranges, à propos du projet de mariage de sa fille Renée et Ferdinand de Habsbourg, qui est interrompue par un malaise de la reine.