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Vidocq (71 événements)
Vidocq

(71 événements)

Juillet
24/07
Naissance d'Eugène-François Vidocq à Arras.
Mars
23/03
Vidocq est incarcéré pour 10 jours aux Baudets à la demande de son père pour avoir lui avoir soutiré de l'argent.
Mars
10/03
Vidocq est engagé dans le RI des Bourbons-Infanterie.
Septembre
20/09
Vidocq participe à la bataille de Valmy sous les ordres du Général Kellermann.
Octobre
06/10
Vidocq passe au 11è Chasseur à Cheval.
Novembre
06/11
Vidocq participe à la bataille de Jemmapes au sein du 11è Chasseurs à Cheval.
Mai
28/05
Vidocq est renvoyé du 11e régiment de chasseurs à cheval après une dizaine de duels.
Janvier
09/01
Seconde incarcération de Vidocq à la prison des Baudets sur une fausse dénonciation suite à une rixe amoureuse (→ 20/01).
Août
08/08
Vidocq épouse Marie-Anne-Louise Chevalier contraint et forcé, il a 18 ans. Le jeune couple tient une épicerie.
Septembre
 
Suite à une altercation avec un officier amant de la maîtresse de Vidocq, il est condamné à 3 mois de prison à Lille. Il fait la connaissance de Boitel, un agriculteur condamné à 6 ans pour vol.
Novembre
24/11
Vidocq et 2 autres détenus aident Boitel à s'évader au moyen de faux papiers. Boitel sera rattrapé et dénoncera les complices de son évasion.
27/11
Vidocq est inculpé dans l'affaire Boitel.
Décembre
30/12
Sous la menace d'une condamnation pour faux, Vidocq s'évade déguisé en officier.
Janvier
21/01
Repris, Vidocq est incarcéré à Lille, à la prison du Petit-Hôtel.
Février
02/02
Vidocq s'évade à nouveau.
03/02
Vidocq est repris et retourne à la prison du Petit-Hôtel.
Mars
07/03
Vidocq est à la prison de Douai où il a été transporté pour témoigner dans un procès.
18/03
Vidocq est emprisonné à Lille.
Juillet
 
Vidocq s'évade.
Août
11/08
Vidocq est repris et écroué à Lille.
Septembre
04/09
Vidocq est écroué à Cambrai.
Décembre
27/12
Vidocq est condamné par le tribunal criminel de Douai à 8 ans de travaux forcés pour "faux en écritures publiques et authentiques".
Mai
20/05
La prison de Bicêtre mentionne dans ses registres le portrait suivant : « François Vidocq, marchand d'indienne, marié à Marie-Anne Chevalier, demeurant lors de son arrestation à Lille, département du Nord, et en deuxième, à Paris, rue Saint-Hugues, 4, cour Saint-Martin, âgé de 26 ans, natif d'Arras, département du Pas-de-Calais, taille 5 pieds 6 pouces, cheveux et sourcils blonds, front rond, nez aquilin long, yeux gris, bouche moyenne et de travers, menton rond et long, visage ovale, barbe blonde, ayant une cicatrice à la lèvre supérieure à droite et les oreilles percées... ».
Décembre
20/12
Départ de la chaîne dans laquelle se trouve Vidocq de Bicêtre pour Brest.
Janvier
13/01
à l'hôpital de Pontanézen de Brest, alors qu'on procède au déferrement des bagnards. Vidocq essaie de fausser compagnie à ses gardiens, mais il se foule les deux chevilles en tentant de sauter du mur d'enceinte.
28/01
Vidocq réussit à se procurer des vêtements de matelot qu'il dissimule dans l'arsenal où il travaille. Ayant réussi à se changer subrepticement, il quitte Brest sans être inquiété.
Mai
 
Vidocq est arrêté à Ostende après l'examen de l'équipage par des gendarmes. Vidocq est emprisonné à Lille puis à Douai (toujours sous l'identité du matelot Duval).
Juin
22/06
Retour de Vidocq à Bicêtre.
Août
03/08
Départ d'une chaîne à destination de Toulon (Vidocq y fait la connaissance de Salembier, un célèbre chef de bande des Chauffeurs du Nord).
22/08
Arrivé de Vidocq au bagne de Toulon.
Mars
06/03
Vidocq s'évade du bagne de Toulon.
Novembre
22/11
Naissance de François Bourgois, soi-disant fils naturel de Vidocq et de Marie-Louise-Josèphe Bourgois, dentellière.
 
Pendant quelques mois, Vidocq est marchand de nouveautés à Paris.
 
A Versailles, Vidocq ouvre un magasin de toile, coton, cachemire que tient sa mère.
Mai
12/05
Vidocq est arrêté à Versailles, rue de la Pompe.
Juillet
03/07
Vidocq est la prison d'Arras.
14/07
Vidocq est à Douai.
Août
 
Le divorce d'avec Marie-Anne-Louise Chevalier est annoncé à Vidocq.
Octobre
22/10
Vidocq s'évade de la prison de Douai.
Juin
05/06
Vidocq est marchand-tailleur à Paris mais se fait de nouveau arrêter.
Juillet
 
Vidocq propose ses services d'indicateur à la préfecture de police. Il la renseigne d'abord en étant mouchard dans les prisons de Bicêtre et de La Force.
Mars
25/03
On organise l'évasion de Vidocq qui devient agent secret de Mr Henry.
Décembre
 
Vidocq, ancien bagnard en rupture de ban, devient chef de la sûreté de manière officieuse (il ne le sera officiellement qu'une fois gracié en 1818).
Avril
01/04
Louis XVIII accorde à Vidocq sa grâce par lettres patentes, ce qui lui rend ses droits civils.
Novembre
06/11
Mariage de Vidocq avec Jeanne-Victoire Guérin, sa seconde épouse.
Juin
 
Décès de Jeanne-Victoire Guérin, épouse de Vidocq.
Juin
20/06
Vidocq démissionne de ses fonctions de chef de la « sûreté ».
Juillet
01/07
Vidocq assiste à la cérémonie d'entérinement des lettres de grâce accordées par Louis XVIII en 1818.
Octobre
 
Vidocq publie le premier volume de ses Mémoires.
Janvier
28/01
Vidocq épouse à Saint-Mandé sa cousine germaine Fleuride-Albertine Maniez, de 18 ans sa cadette.
Mars
31/03
Vidocq redevient chef de la « Sûreté ».
Novembre
15/11
Vidocq démissionne à la demande du préfet Gisquet, qui souhaite « moraliser » ses équipes.
Décembre
 
Vidocq fonde le « Bureau de renseignements universels dans l'intérêt du commerce ». Sis au 12 de la rue Cloche-Perce à Paris, cet établissement se consacre aux « recherches et explorations dans l'intérêt des personnes lésées, affaires contentieuses ».
 
Vidocq est élu membre de l'académie de l'industrie agricole, commerciale et manufacturière présidée par le Duc de Montmorency.
 
Vidocq installe son domicile et ses bureaux au 20 rue du Pont Louis-Philippe.
Novembre
28/11
La Police, jalouse des succès de Vidocq, perquisitionne son domicile, son agence, sa papeterie et saisie ses dossiers.
Décembre
19/12
Vidocq est incarcéré à Ste Pélagie.
Mars
03/03
Vidocq est relaxé en triomphe (Parution de l'affiche "Liberté" ).
 
Vidocq transfère ses bureaux au Palais-Royal, au 13 Galerie Vivienne.
Août
17/08
Vidocq est à nouveau arrêté et écroué à la conciergerie. Cette fois, on l'accuse d'escroquerie, d'usurpation de titres et d'arrestation arbitraire (Procès Champaix).
Juin
 
Parution du texte "Vidocq à ses Juges".
Juillet
22/07
Vidocq gagne le procès en Cour Royal (Parution en 1843 de l'affiche "Résurrection" ).
Septembre
21/09
Le préfet de Police conteste la validité des lettres de grâce de Louis XVIII et interdit à Vidocq de résider à Paris.
26/09
Vidocq refuse d'obéir à l'arrêté l'obligeant à ne pas quitter Paris et qui n'aura pas de suite.
 
Publication des "Vrais mystères de Paris" dont Vidocq ne fait que signer les exemplaires sans participer réellement à leur rédaction.
 
Ruiné, Vidocq part pour Londres. Fort de sa légendaire réputation, il y donne des conférences payantes. Il y vend des brevets pour des inventions de sa conception : papier infalsifiable, serrure incrochetable.
Novembre
06/11
Retour de Vidocq en France.
Novembre
 
Vidocq Il se retire des affaires et revend l'agence de "Renseignements universels".
Mai
 
Vidocq reprend du service dans les renseignements français en se laissant emprisonner à la Conciergerie durant les émeutes du 15 mai et opère comme indicateur.
Juillet
 
Le choléra frappe Vidocq à soixante-dix-neuf ans. Malgré son grand âge il parvient à survivre à la maladie infectieuse.
Mai
11/05
Mort d'Eugène-François Vidocq à Paris.