à l'hôpital de Pontanézen de Brest, alors qu'on procède au déferrement des bagnards. Vidocq essaie de fausser compagnie à ses gardiens, mais il se foule les deux chevilles en tentant de sauter du mur d'enceinte.
Vidocq réussit à se procurer des vêtements de matelot qu'il dissimule dans l'arsenal où il travaille. Ayant réussi à se changer subrepticement, il quitte Brest sans être inquiété.