La dynastie Iksvâku succède aux Satavahana à Nagarjunakonda. Nagarjunakonda devient un centre actif du bouddhisme. L’art (sculpture), rattaché à la phase finale d’Amaravati, s’y développe dans un climat de grande liberté spirituelle, les souverains Iksvâku étant hindous et leurs épouses bouddhistes.