Au concile de Latran, le pape Alexandre III condamne la pratique du tournoi. Malgré la multiplication de ces interdits, le tournoi reste l’activité la plus prisée par les chevaliers qui peuvent y montrer leur force et leur endurance. La chevalerie française, qui accumule les victoires en tournoi comme sur les champs de bataille ne conçoit pas de mettre un terme à cet « art de vivre ».