Antoinette Fouque, Marie-Claude Grumbach et Sylvina Boissonnas déclarent à la préfecture une association du nom de « Mouvement de libération des femmes - MLF ». Ce même nom est également inscrit comme marque commerciale à l’Institut de la propriété industrielle et commerciale. Le MLF, qui n’appartenait jusque là à personne et n'avait pas de structure officielle, devient par cet acte la propriété privée de quelques-unes, interdisant à toutes les autres femmes de s’en réclamer. Le tollé est général et signe la fin de MLF.