L'Acte d'Union de l'Irlande au Royaume-Uni est voté par les parlements britannique et irlandais. Préparé par Pitt, il donne aux Irlandais une représentation à Westminster, afin qu’ils prennent part aux débats les concernant. Il entre en vigueur le 1er janvier 1801, et supprime le Parlement de Dublin en échange de la création de 95 députés et 22 pairs irlandais au sein du Parlement du « Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande ». George III du Royaume-Uni s’oppose à l’émancipation des catholiques promise par Pitt.