Le culte d’Amon est rétabli en Égypte sous l’influence du général Aÿ, chef de la cavalerie d’Akhénaton, vrai maître de l’empire. Le retour à la tradition prend en compte une part des apports nouveaux, aboutissant à une codification subtile du rapport entre le dieu démiurge et ce qui procède de lui (Hymne à Amon de Leyde) dans un grand effort de synthèse intellectuelle.