Exécution de Callistratos, homme politique athénien condamné en 362 av. J.-C., à son retour d’exil de Macédoine.
Le roi Artaxerxès III de Perse oblige Athènes à conclure une paix qui oblige la ville à quitter l'Asie Mineure et à reconnaître l'indépendance de ses alliés rebelles.
Le parti de guerre de Charès à Athènes est remplacé par celui d'Eubulus, favorable à la paix. Eubulus rétablit la position économique d'Athènes sans augmenter le fardeau fiscal et améliore la flotte athénienne tandis que ses quais et ses fortifications sont réparés.
Philippe II de Macédoine conquiert les villes portuaires d'Abdera et de Maroneia (qui appartiennent à Athènes ).
Isocrate rédige le discours Areopagitikos, dans lequel il appelle Athènes à restaurer la constitution solonienne.
Athènes reconnaît l'indépendance des villes côtières gréco-ioniennes.
Juillet
À la suite d'un ultimatum d’Artaxerxès III, Athènes rappelle Charès et reconnaît l’indépendance de ses alliés révoltés.